Suivi de parcours des étudiants de L1

L'ORIVE poursuit son travail d’analyse des trajectoires étudiantes avec le projet « Génération 2023 », une nouvelle étude lancée en 2024. Elle vise à mieux comprendre les parcours académiques dans un contexte en constante évolution, en suivant les étudiants inscrits à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. 

Suivi des inscrits en 2020-2021

En 2020-2021, 4 427 néo-bacheliers se sont inscrits en première année de licence à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Parmi eux, 37% ont poursuivi leur parcours de manière continue à Paris 1 entre 2020-2021 et 2023-2024. Ce projet suit leur évolution à travers les différentes étapes de leur cursus universitaire, sur trois années :

  • 2021-2022 : L2 (N+1)
  • 2022-2023 : L3 (N+2)
  • 2023-2024 : M1 (N+3)

Les résultats sont détaillés par licence et par mention de doubles licences.

4 427

étudiants néo-bacheliers en L1 en 2020-2021

75%

étudiants inscrits en L2 en 2021-2022

57%

étudiants inscrits en L3 en 2022-2023

25%

étudiants inscrits en M1 en 2023-2024

Précisions méthodologiques

Les données portent sur les 4 427 néo-bacheliers ayant obtenu un baccalauréat français ou étranger, c'est-à-dire les étudiants entrés à l’université dès la rentrée suivant l’obtention de leur baccalauréat. Par exemple, les néo-bacheliers 2020 sont les étudiants ayant obtenu leur baccalauréat en juillet 2020 et ayant intégré l’université en septembre de la même année.

Le suivi de cohorte repose sur ces 4 427 étudiants et n'inclut donc pas les étudiants entrants en cours de parcours universitaire.

Certains profils d’étudiants ne sont pas inclus dans la cohorte :

  • Étudiants en formation à distance (IED) et/ou à l’étranger
  • Étudiants en licence professionnelle
  • Étudiants en programme d’échange
  • Étudiants inscrits dans des cursus spécifiques aux Classes Préparatoires aux Grandes Écoles (CPGE)
  • Étudiants « AJAC » (Ajournés Admis à Continuer)

La cohorte s’inscrit dans un contexte post-crise sanitaire, ce qui peut avoir influencé les trajectoires étudiantes. Par conséquent, les résultats ne sont pas directement comparables à ceux des cohortes suivantes.